
Cette première semaine vaut le voyage à
elle seule. Et tandis que l’éloignement des siens commence à se faire sentir, la
perspective d’entrer en Asie par la route agit comme un puissant stimulant.
Nous entrons en Turquie depuis la
Bulgarie. Formalités rapidement effectuées un jour de week-end. Encore 200
kilomètres et nous voilà dans la banlieue d’Istanbul. Djo est un peu malade, il
pleut sur une circulation très dense. Rien de très confortable à moto. Pour
couronner le tout, nous perdons Didier notre « capitaine route » de
la journée dans le trafic.
Echange de SMS pour se dire qu’on se
retrouve à l’hôtel en bordure du Bosphore.
L’œil rivé sur le GPS, l’autre dans les
retros pour ne pas perdre Djo, et les deux sur la circulation, je suis
scrupuleusement les indications de la machine. Magie de la technologie moderne.
A se demander comment on faisait avant…
Descente de nuit sur le Bosphore. Saisissante vue
panoramique sur Istanbul, écrin piqueté de « mille » minarets tels
des antennes érigées pour communiquer avec le tout puissant.
En route vers le Caucase nous entrons
dans un autre monde, déjà impatient de tourner la page ouvrant le chapitre
suivant.
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