Un an que le Covid a commencé à
chambouler nos vies et nos entreprises. Inimaginable scenario qui n’en finit
pas de finir. Et pas besoin d’être un grand devin pour parier que nous en
tenons encore pour des mois, jusqu’à ce que la vaccination massive permette
d’endiguer, enfin, la maladie. C’est long, difficile, stressant comme peut
l’être une grande crise, de celles qui ont transformé le monde.
Nos parents et grands-parents ont vécu
les 30 glorieuses, période de croissance ininterrompue au sortir de la deuxième
guerre mondiale. Tout semblait alors possible. Les progrès technologiques,
économiques, et sociaux, ouvraient des perspectives dont nous bénéficions tous
aujourd’hui. N’en déplaise aux grincheux qui pensent que le monde va plus mal qu’avant.
Mais c’était quand avant ?
Que nous réserve donc l’avenir quand la
page Covid sera tournée ? (Gageons que ce soit le cas avant l’hiver
2021...)
Nous retrouverons le plaisir du vivre
ensemble, des relations sociales sans plus de distanciation, de nous embrasser !
Cette chaleur humaine qui nous relie et qui fait la beauté de notre espèce.
Nous retournerons vibrer dans les lieux de cultures, y redécouvrir les émotions de la beauté
crée par ces artistes qui nous font grandir.
Nous ferons peut-être d’avantage
attention aux autres en nous isolant avec un masque, en cas, par exemple, de
symptômes grippaux.
Nous mangerons sans doute plus
sainement, ayant retrouvé le goût des produits basiques à cuisiner dans les
étals de nos magasins d’alimentation.
Nous continuerons d’acheter à distance,
sur des plateformes donnant accès au plus grand marché du monde. Celles qui
permettent aussi aux artisans et petits commerçants de livrer partout des
clients qui ne les auraient jamais rencontrés autrement.
Le télétravail alterné deviendra la
norme pour les métiers où c’est possible.
Nous voyagerons moins pour le travail
et sans doute plus pour le plaisir. Les rendez-vous vidéo à distance, grâce à
la magie et l’efficacité de leur instantanéité, auront remplacé une partie
significative des déplacements professionnels.
L’astronomique dette de crise contractée
par les états et les entreprises sera probablement repoussée à des horizons
lointains les rendant quasi virtuelles.
Comme la productivité va faire un bond,
à plus long terme nos enfants travailleront moins, et je parie que le 4 jours
par semaine deviendra un jour la règle.
Bref, il ne fait aucun doute que le monde
sera meilleur si, en 2021, nous continuons à nous adapter, faisant preuve à la
fois d’ouverture d’esprit, d’agilité, et d’endurance, nécessaires à cette
transformation.
Très belle année à tous !
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